"Bella - entre le nombril et l'extrémité de la culotte" - un fragment

Traduction d'un texte : Karolina Osiwala


Avers


Ex omni me

Mettre du mien comme un bouquet de bleuets,

car toujours il vaut. Car il n'est jamais trop tard.

etre une lampe pour les gens et un café pour les anges

qui me font pitié. Qui s'ennuient dans les nues.


Konstanty Ildefons Galczynski




Ch?re Lectrice,


Les cas n'existent pas ! Pareillement cet livre n'est pas un cas! M?me la date de ce jour, ce n'est pas aussi un concours de circonstances.

Pas par hasard je m'adresse aux Femmes, parce que c'est vous, Ch?res Femmes, vous ?tes les preneuses de mes livres en r?gle générale.

Assurément au cours de la lecture tu vas te demander: "ce qui est fantastique et ce qui est autobiographie ?" J'informe : il est vrai, mais seulement qu'il a connu toutes les émotions décrites ici; fiction - tout le reste (ou un peu moins (: ).

Si au fond de toi, Ch?re Lectrice, Bella a fait sourire ou les autres émotion, je te demande chaleureusement :

Assieds-toi au clavier et ? chaud part-toi avec moi de ses impressions. Ecrit-moi bien que quelques mots sur ce que tu penses et tu ressentes. Votre lettre sera pour moi la plus grande preuve de la valeur qui a été écrit.


Merci beaucoup!

André Setman

Varsovie, le 10 octobre 2008



Un dictaphone

- Papa?! - Ida a gémi ? sa vue il assoyait dans la salle d'attente devant la salle d'opération. - Toi ici?!

- Qu'est-ce ? merveille, si tu n'es pas remplies moi - il a dit, en se levant du chair et en étendant les bras avec incertitude pour saluer sa fille.

- Sais-tu, qu'est-ce qu'il se passe avec maman ? - elle a demandé, en l 'embrassant fugitivement en joue, sans grandes signes de joie.

Dans les quatre années qui ont passé depuis sa mariage,, ils ne voient que quelques fois sur les événements familiaux. Il y venait avec sa nouvelle, beaucoup plus jeune, amie. Au début elle plantait cette fille silencieuse, regardez comment elle perd la jeunesse sur le côté de l'ancienne gars. Mais apr?s quelques réunions elle a commencé ? ressentir le dégo?t, en voyant comme " cette petite " fixe ses yeux sur son pere. Exactement sur cet moment cet mur invisible s'est développée entre leur. A partir de ce jour elle n'a pas été en mesure d'appeler son p?re avec aucune raison et demander: "quoi de neuf avec toi ?". Voeux laconiques de noms envoyés par SMS est devenu le seul lien. Si Ida a été demandé si elle est jalouse, que la jeune fille avec les yeux des moines en pri?re ? la statue de Saint Joseph a pris sa place, elle contesterait propablement.

- L'opération a déj? commencé et elle n'est probablement pas fin bientôt ...

- As-tu vu maman ?

- Oui, j'ai vu comment ils l'ont transporté ? la salle d'opération, elle était couché sur le chariot ...

- A-t-elle connu ?

- Je ne sais pas. Probablement oui.

- Comment a-t-elle eu l'air ?

- Mal, mais apr?s la narcose on n'a pas l'air mieux.

- As-tu parlé avec le docteur ? - elle a demande, en espérant qu'elle obtienne un tant soit peu l'espoir.

- Non.

- Penses-tu, que il soit bien?

- On va voir. - Il a répondu calmement, en fixait ? inscription rouge : 'Entrée interdite', qui a allumé par-dessus un porte du bloc opératoire.

- Tu dis, comme si tu en étais totalement indifférent - elle a constaté avec un reproche, en n'obtenant pas l'espoir.

- Car il est.- Il l'a regardé en face et il a répété: -Car il est.

- Je ne comprends pas. Alors, pourquoi tu est venu ici ?! - Elle attendait l'explication, pourquoi il est arrivé jusque 700 kilom?tres, si la destinée de sa femme est indifférente pour lui.

- D'?tre ici.

Une détermination de la répondre l'a lanciné dans le coeur. Elle savait cet ton, ce qui n'est pas permis d'opposition. Elle l'a entendu une seule fois dans la vie, quand elle s'est acheminée sur le voyage scolaire ? Venise. Il a alors objecté, en disant bri?vement : " Tu ne vas pas aller ". Les larmes et les bouderies ne sont pas aidés. TU NE VAS PAS ALLER était irrévocable comme la mort de deux coll?gues de classe dans un accident d'autocar. Aujourd'hui, pour la deuxi?me fois, elle a entendu la m?me fermeté dans sa voix. L'évocation cela incident l'a lancine si désagréablement, d?s qu'il sait tarabuster creux fin...

" Peut-etre il vraiment doit attendre pour une raison inconnue pour moi devant la salle d'opération ? Peut-etre il aime encore ma m?re, m?me si leur divorce tant d'années ont passé ? " - elle pensait. " Mais parce que nous devons passer plusieurs heures ? côté de l'autre, alors, je ne veux pas qu'il s'assoie sans mots, caché derri?re des murs de silence.

Je voudrais qu'il dise n'importe quoi, indifféremment quoi, une histoire futile qui vise ? réduire les temps d'attente pour un peu de temps pour le résultat de l'opération. Il vaudrait mieux que le silence hôpital salle d'attente. "

- Papa... - Elle a commencé avec incertitude. - Est-ce que tu encore aimes la maman ?

- Non, depuis longtemps. Depuis 20 ans je ne déj? l'aime plus.

- Du divorce?

- Je l'ai aimé alors...

- Rien du tout cela je ne comprend pas. Il y a 20 ans vous s'est divorcés La derni?re fois que tu as rencontré avec lui c'etait lors de mon mariage.. Alors pourquoi tu es ici aujourd'hui??

- Pas tout dans la vie doit ?tre comprisé.. La vie n'est pas la mathématique.

- Explique-moi, SVP !

- Qu'est-ce que tu veux savoir ?

- Je veux savoir le plus possible.

- Que dois-je te dire?

- N'importe quoi, le mieux ça, que je ne sais encore ou je ne me doutes pas !

- Tu ne connais pas encore beaucoup de choses. Si nous essayions de créer l'image de ta mere, toi et moi, trois portraites naîtraient et ils seraient dissemblables de soi. Tu ne connaisais qu'un seul...

- Tu as la raison, je ne savais pas maman. Maintenant je sais, que m?me je ne veillais du tout faire plus ample connaisance avec lui. Je ne veillais pas ?tre comme lui et j'esp?re, que je ne serai jamais.

- Bon... De quoi je dois commencer?

- Le mieux des le commencement, de ce que vous faisiez la connaissance.

- Je te racontais autrefois, quand nous visitions Varsovie. Je t'ai monté le café 'chez Michael' ? côté du Barbakan. De mon temps elle était toujours pleine de lycéens passés les heures ? la thé par anglais.

Ce soir je suis allé au théâtre, mais j'ai eu beaucoup de temps et j'ai décidé de flâner dans la vieille ville. Sur le bras je portais un appareil photo et un dictaphone. Je voulais enregistrer un spectacle. J'ai aimé photographier et d'enregistrer. Conserver un visuel et un son. J'ai enregistré n'importe quoi: des émission radiophonique, des appel téléphonique, des pi?ces de théâtre. J'avais ? la maison les cents des casettes avec les enregistrement. Elles occupent la majeure partie de la chambre. Tout ? fait comme les potes a la compote de mirabelles de ma grand-mere. Ils étaient debout dans sa cave et ils avait le gout comme aigreur de accumulateur. Ma deuxi?me passion est de prendre des photos de moments importants dans la vie. Tu n'as pas idée combien ils étaient.

Chacune excursion, une discotheque scolaire ou un jour de fete dévoraient a quelques filmes. Les plus appreciable photos j'ai encolle aux albumes, la reste se mettait en boites de chaussures, idealement adaptés au rayon de l'étagére.

- Que s'est-il passé avec eux?

- La plupart n'existe plus. Les gens de ces photos sont également. A beaucoup d'entre eux personne ne songe pas deja soif moi. Du m?me, tes enfants. Quand ils seront adultes, ils ne sauront que moi avec vos histoires, Ils ne peuvent pas m?me rappeler l'odeur de ma barbe.

- Ce que tu me dis c'est terriblement triste...

- Non, ma chérie. Ce n'est pas triste. Moi aussi, j'etais triste autrefois, parce que je semblait, que quelque chose se passe ? jamais. Lorsque mon p?re m'a dit: " Tout le monde meurt, j'ai moi aussi une fois que je meurs " , j'ai fondu en larmes sur l'idée qu'? l'avenir il ne sera pas. Mais il n'est pas mort " ? l'avenir ", il est mort " dans le passé " . Et il est si éloigné que probablement tu ne te souviens pas l'odeur de sa barbe, qui tu aimerais hérisser.

- Mais c'est déprimant qu'un jour,nous ne le seront pas.

- Pas seulement nous. Il n'y aura pas aussi ces moments, nos joies, les espoirs, les souffrances, les émotions, et peut-?tre m?me de ces lieux ne le feront pas.. Le village de ma grand-m?re n'existe pas encore.. Il n'y a pas ensuite cette maison avec des arbres de Noël Noël importés de la for?t sur la luge. Il n'y a pas la for?t ... Il n'y a plus les gens, l'odeur de la pâte, ces soins, ces plaquettes de couleur marron grille le charbon sur le plateau de cuisine. Aucun de ceux-ci n'existe pas et n'existera plus.. Il n'y a que des albumes avec des photos palies que presentent encore les personnes drolement v?tus. Seulement dans les musees de technique il y a les phono qui peuvent créer encore les chansons en vogue de ce-la temps, enregistré sur les plates de shellac, qui cassaient ? fin ponceau, comme elles était en verre quand on traitait eux imprudement.

- Je me souviens le gramophone avec petite manivelle. Il était dans le grenier. J'aimais y aller et d'écouter ces enregistrements. J'ai imagine que ce soit la musique enregistrée par les fantômes.. - Elle a souri pour la mémoire. - Tu sais, papa, j'ai fait un triste qu'il n'a plus le cette gramophone et je n'entendrai plus jamais la musique des fantômes.

- Tu as dit : j'ai fait un triste, mais tu as sourit ? la mémoire. Tu sais, pourquoi tu as sourit ? Parce que ces choses sont en toi. Parce que tu souviens cette gramophone et cette musique pleine de bruit ressemblant aux sourises, qui font le bruit au-dessous du plancher en bois. Si je vous disais ? propos de son moto et de ceux qui, comme moi avec ta m?re avons un voyage ? la montagne, ça ne se l?vent pas ? la mémoire de toi, mais seulement une image. Parce que nos propres souvenirs sont pour nous la valeur. Nous ne pouvons que nous souvenir de ce qu'ils ont vécu. Une plus grande valeur pour vous, est la mémoire de l'automne marcher autour du parc que l'idée de l'amour de Julia. Une promenade était vôtre, et l'amour de Roméo c'est le sentiment de quelqu'un d'autre.

- Tu penses que tes souvenirs ne sont pas pertinentes pour moi?

- Oui, ils sont compl?tement sans valeur pour toi, si tu ne les connaissais pas. - Il a tire du portfeuille photo jaunie qui a presenté deux hommes fiers de ses maigriottes. - L'homme qui tient la proie, il aussi n'est pas important pour toi. Mais ça juste il m'a appris ? p?cher le poisson. J'ai passé avec lui plusieurs jours sur le bateau. Mon grand-p?re a toujours réussi ? trouver le temps de parler avec moi. Dans une large mesure, je dois qui je suis maintenant et ce que je suis a lui.

- Est-ce tu veux dire que les souvenirs sont comme de l'argent? Seulement cette dans un sac ou sur une compte bancaire signifie quelque chose?

- Non_ Pas tout a fait. Quand les gens partagent l'argent, l'un d'eux profite mais l'autre perd. Le partage de choses immatériel, comme des sentiments, des souvenirs, des r?ves, faire un profit tous le deux. Indépendamment de cela, si ces émotions sont positives ou negatives.

- Papa, ce que vous dites est contraire ? la logique. Est-ce que tu penses que plus je donne, plus j'aurai?

- Tu as raison. La logique des émotions semble ?tre peu différente de la logique mathématique. Une physique de la physique des particules élémentaires est différente de la physique de Newton. Toutefois, elle ne contredit pas, mais l'étend ? la nouvelle loi. Si tu veux aimer plus, partage-toi ton amour et tu serai couché comme la brume. Tu veux voir? Imagine-toi que deux personnes prenant part ? la cérémonie de mariage. L'un d'eux a une caméra et il fait des films tout le temps. Qu'est-ce que tu penses, lequel d'entre eux a conservé plus de souvenirs? Celui qui a fait le film?

- Euh ... Je crois qu'oui. En effet, tout le temps il attrapait les plus captivants moments.

- Il n'en est rien. Si immédiatement apr?s le mariage ils devaient en rapporter, celui sans la caméra se souviendrait quatre fois plus détaillée que celui-la qui a fait des films.

- Il semble bien que c'est le vrai, mais celui qui a une enregistrement, il peut en voir toujours - elle a essayé de défendre sa logique.

- Tu as raison, il va probablement en regarder et m?me pour un certain temps il saura tr?s bien enregistré des sc?nes de la noce.. Comme s'il regarderait un film au cinéma.

Apr?s avoir quitté le cinéma on souvient le film assez bien, mais bientôt. Apr?s une année, ce qui a fait un film il ne se rappele que " Photos de la cérémonie de mariage ", mais ils ne lui conduisent pas ? toute l'émotion. J'ai aussi essayé de créer des souvenirs, j'ai fait des photos et j'ai enregistré un voix sur un disque magnétique. A cette époque il n'y avait pas encore des caméras vidéo, car du matin au soir sans doute je ne me décollerais pas du viseur. Heureusement, j'avais seulement un appareil photo et un enregistreur. Grâce ? ça, ma vie n'était pas si compl?tement ? côté de moi.

- Je ne me souviens pas tout particuli?rement grand nombre des disques et des photo dans notre maison. Il n'y aura pas ni seulement quelques albums, ni les disques et les boîtes de la chaussure pleines de photo. Que s'est-il passé avec eux ?

- J'en a salé.

- Il n'y a eu aucun dommage ? vous? - Elle était surprise.

- Tu n'as pas idee si tellement. Nawet nie masz pojêcia, jak bardzo. Quand je les ai mis au poubelle, je me sentais, comme ma jeunesse mourrait.

- Alors, pourquoi tu l'as fait?

- Car ma parole est donnée.

- A qui ?

- Ta maman.

- Raconte-moi, s'il te plait...

- C'était notre premiere propre excursion. C'etait le 21 juillet. Nous étions debout dans les montagnes au-dessus de l'abîme. Sur cet moment je me suis preparé de matin. Je me suis levé plut tot et je suis allé chercher des pains mollets pour le petit-dejeuner. En passant je suis entré chez maitresse de la maison pour conquérir rose rouge. Je savais, qu'elle ne vende pas pour aucun prix ni une fleur de son jardin . J'ai payé prawd±.

Elle a choisi sept les plus belles bourgeons, quand je l'ai dit, puorquoi je tiens aux roses d'arbisseau qui pousse avant sa maison. Starannie owinê³a ³odygi plastikow± torebk± z mokr± lignin±, ¿eby kwiaty nie zwiêd³y, kiedy przez kilka godzin bêdziemy siê wdrapywaæ na szczyt.

J'ai mis l'appareil photo. La lentille est devenue non seulement nous, mais l'ensemble de la vallée avec une mosa?que et des chalets, qui rappelle que la hauteur d'allumettes. J'ai expliqué les roses en dos et, en m?me temps,sans etre apercu j'ai allume la dictaphone caché dans une poche.

Je m'ai mis ? genoux avant ma petite amie. ? ce moment-l?, samowyzwalacz a fait une photo et j'ai dit " je t'aime, mon amour... " et je voudrais ajouter que ...

- Combien tu m'aimes? - Ta maman m'a coupé ma déclaration d'amour preparée avec sollicitude.

- Les plus comme c'est posiible ! Je suis m?me pr?t ? sauter dans cet écart, si tu as été demandée. - Et j'aurais sauté, s'elle l'avait exigé. Main non, elle m'a déconcerté completement.

- Si tu veux, que je te croie, jete ? l'abime ton apareille de photo et dictaphone, que tu as dans ta poche. - Je suis resté bouche bée !

- Mais le film, le casette ? - j'ai demandé avec l'espoir, qu'elle m'a permis tenir tant soit peu les enregistrement et les photos de cette occasion.

- Avec le film et le casette. - elle a dit calmement. - j'ai mis l'appareille dans une étui et... je l'ai jeté ? l'abime. J'ai tire de ma poche le dictaphone et en ne l'arr?tant pas, j'ai levé le main avec une satisfaction incomprehensible. Szerokim ³ukiem Il s'est envolé trois cents metr?s en bas. Cet vol, je me le souviendrai jusqu' ? la fin de ma vie. Dwadzie¶cia lat je le regardais en memoirs , un cadre au cadre, au ralenti, milles fois je reculais et je repeterais, si j'aurais filmé le vol de l'ange. - Tu ne le regrettais pas?

- Vachement ! Mais j'ai compris, que si je sois avec ta maman, czeka mnie fascinante, quoique la vie compliqué, jakie nie ka¿demu jest dane.

- D'ou tu savais, que la vie avec ma maman soit fascinante, quoique compliqué?

- C'est l'histoire longe.

- Raconte-moi !

- Nie mam przed tob± nic do ukrycia.

- Mais d'abord finis cela episode - Ida a demande - O¶wiadczy³e¶ siê jej wtedy?

- Oui. J'ai mis ? genoux et encore une fois j'ai demandé, qu'elle soit devenue ma femme.

- Cette fois tu te mets a genoux devant moi, mais si devant l'objectif - ta maman ? dit. - Maintenant je crois, que tu m'aimes vraiment. - Et apr?s le moment elle a ajouté: - Mais si tu veux, que je devienne ta femme, tu doit vider tous les photos et les enregistrements.

- Tous? - j'ai demandé désespéré, comme elle m'ai fait mettre le feu ? la Bibliotheque Nationale.

- Seulement ces incollés aux albumes. C'est mon prix. Tu vas payer, si tu vraiment souhaites, que je reste ta femme.

- Mais pourquoi? Explique-moi, svp. - Tout a coup elle a mis le monde sens dessus dessous. Elle ne critiquait jamais ma passion.. Diametralement opposement, elle me permettait le faire des photos. Meme elle posait volontiers. Facilement by³oby mi skoczyæ dans une abime, gdyby tego za¿±da³a que vivre sans mes souvenirs conserves.

- Parce que je veux, que tu vives, mais pas seulement tu sois une observatoir de la vie - elle a dit calmement. - Hésites-toi ? Veux-tu reflechir, si je suis cela vaut? Tu ne dois pas me reponds tout de suite. Je te donne le temps a reflextion. Je vais attendre 5 minutes.

Je tournoyais sur cette petite espace pres de la frontiere d'abime et en se désespérant, je me parlais incessantement: "Tout phototeque au depotoir?", comme je serais zdart± p³yt±. Elle a exige trop de moi. Je n'en pouvais pas donner. C'etait ca, comme je devrais vider au dépotoir toute ma vie? Et tout a coup j'ai arrete cet disque. J'ai compris, que je vraiment dans le moment je vais vider z au dépotoir toute ma vie, mais prochaine vie, cette, que je peux traverser avec ta maman. On dit que dans la situation de la menance une homme en train de quelques seconds voit tout le filme de sa vie.

J'avais quelques pannes dangereuses et rien pareille ne s'est jamais passe. Wtedy jeden jedyny raz odczu³em co¶ podobnego, mais ce n'etait pas un film u³o¿ony des souvenirs, mais des sentiments et des émotions czekaj±cych a moi dans l'avenir. Je sentais en meme temps la joie, la tristesse, grand bonheur et un desespoir. Je ne savais pas, qu'est-ce qu'il se passe avec moi. Dopiero po roku u¶wiadomi³em sobie znaczenie tamtej chwili. Trwa³a nieca³± minutê i skoñczy³a siê równie nagle, jak siê zaczê³a. J'ai regarde au ciel.

- Je veux vivre avec toi jusqu'a la fin de ma vie., independamment de prix, quel je vais devoir de payer. Mais je te prie, permetts-moi tenir suelement un photo, que je n'ai pas collé a l'album.

- Seulement un? - elle a demandé.

- Oui, cet, que je porte dans ma portefeuille.

- Je peux respecter la portefeuille comme rodzaj d'album - elle était d'accord.

- Et la cossette d'hier... - je mendiais.

- Bien - elle était d'accord.

- Et tu sais ce que elle a fait? Elle a mis ? genoux devant moi et elle a dit:

- Je te prie, que tu sois mon mari. Maintenant, tu donnes ton prix. Je vais payer tout, parce que il vaut.

Elle n'avait aucune de passe-temps,elle ne recueillait pas de timbres ou de pi?ces de monnaie. Je ne suis pas venu ? l'esprit, sauf un, que je voulais depuis longtemps.

- Je veux que tu siê kocha³a avec moi cette nuit... - J'ai acquis le courage et j'ai dit son grand r?ve. - Je veux que, apr?s toutes ces années, lorsque la mort vient, m'aimes autant que maintenant.

Elle m'a regardé, comme trop de celui-ci prévu.

- Tu exiges beaucoup et tu ne sais pas que cela signifie... Mais bien, ainsi soit-il.

Lors je ne comprenais pas que sa vue a signifié. Je pensait, que je me suis depeché et elle n'est encore pr?te au commencement wspó³¿ycia. Aujourd'hui je sais. Dans ce-la moment elle sentait, a peut-?tre m?me elle sache, comme notre vie roulera. Nous avons bu champaigne chaud et en bisant comme les plus heureuseux possedees, wyrzucili¶my kieliszki dans l'abime. Na szczê¶cie! Nous avons emporté le bouteille, pour ne pas salir les montaignes.

Musia³o min±æ ponad dwadzie¶cia lat, abym zrozumia³, ¿e wtedy mia³a cholern± racjê. Dziêki niej ¿y³em, a nie tylko obserwowa³em ¿ycie, odk³adaj±c wspomnienia "na pó¼niej".

Zamilk³, jakby w±cha³ zapach siedmiu rozwijaj±cych siê p±ków bordowo-czerwonych ró¿.

 retour

Andrzej Setman